ATTENTION ! CE SITE EST INTERDIT AUX PERSONNES DE MOINS DE 18 ANS !!!

 © Lilas Giorgi

Chapitre 23 Ivan, Jérôme et le loup-garou

 

Ivan, Jérôme et le loup-garou : Episode 23

 

 

Pierrot avait suivit la scène et vue le berger malinois mourir. Il était furieux et se tourna face au labrador.

-On va leur montrer à ces bâtards qui nous sommes vraiment. Je ne suis pas un démon pour rien.

 

Sur ces mots, il prononça une formule :

-Watakiop Ytachi Koliminus Scoliotus

 

A peine eut-il finit ses mots que le loup-garou déjà connu apparut. On vu déjà de la poussière tourner, puis des os, ensuite de la chaire et pour finir la fourrure.

Pierrot sourit et dit :

-Vas tuer la bande des Wolfblood et reviens moi entier. Et cette fois s’ils te tuent, ils perdront leur pouvoir. Si cela ne marche pas le labrador s’en chargera.

 

Le labrador le regarda et poussa un gémissement d’approbation pendant que le loup-garou détalait vers notre bande. Abigaël cachait derrière un buisson suivit toute la scène et s’exclama :

-Il faut que j’avertisse la bande avant que le loup ne les rejoigne. Tendis que le labrador approuvait ce que Pierrot venait de dire notre bande décida de faire un tour. Chacun marchait en couple les uns derrière les autres lorsque j’arrivais vers un homme qui marchait avec son chien. Il me regarda de travers et me lança :

-Toi ! Tu n’es pas mon genre ! Tu es moche !

 

 Je fus blessé au cœur par ces mots négatif et je lui lançais :

-Ah bon ! Et bien…Toi aussi, tu es moche !

 

Il me fit une grimace et continua :

-J’aurais honte d’avoir une tronche comme la tienne. Heureusement que je vais travailler ailleurs comme ça, je ne verrais plus ta tronche de cake.

 

J’eus une grimace et Eddie alors lança :

-Et toi ? Tu t’es déjà regardais ? Tu es moche comme un porc ! Tu oses insulter ma compagne, j’aurais honte à ta place d’exister !

-Qu’est-ce que tu as toi ? Misérable microbe ! Tu n’as donc pas honte de me parler comme tu fais !

-Il te parle comme, il veut pauvre con !

-Ah ! Bravo ! Je vois que vous êtes un couple de mal élevé.

-On est mal élevé car vous, vous comportez incorrectement.

 

Je vis l’homme serrer les points et une femme assez âgée l’appela.

-Ivan ! Ta finis de sortir Youki ?

 

Ivan tourna la tête vers la femme âgée et répondit :

-Oui ! Maman ! J’arrive !

 

Il tira son chien qui reniflait des herbes et s’éloigna de nous. On le regarda s’éloigner et Danny alors demanda :

-Qu’est-ce qu’il voulait ?

-Nous insulter ! Répondit aussitôt Eddie.

-Crrrr ! Sal type ! Répondit alors Danny en virant ces yeux aux rouges.

-Oui ! Grave ! Répondit également Louane en virant ces yeux également au rouge.

 

On se retrouva tous dans la rue et Lunari alors dit :

-Comment a-t-il pus oser ainsi t’interpeler ainsi ? Dit alors Lunari en virant également ces yeux au rouge.

-Il ne manque pas d’air ! Dit alors Killian les yeux jaunes.

-Il n’a pas froid aux yeux ce type. Dit alors Maxime en tournant la tête vers Marie.

 

Danny se dirigea vers Ivan et hurla :

-Eh ! Toi ! Comment oses-tu parler comme ça à notre amie.

 

Ivan surpris stoppa sa marche et se tourna face à nous en finissant par dire :

-Quoi ! Qu’est-ce que tu veux toi ?

-Je te défends de manquer de respect à notre amie ou à un membre de la bande.

 

Dany avait les yeux rouges et commençait à se transformer. Ivan se retourna face à Danny. Il sursauta en voyant les yeux rouges de notre ami et Yuki se mit à grogner. Danny regarda le chien et finit par dire :

-Retiens ton chien sinon, cela va mal se passer.

 

Ivan obeit et Danny poursuivit :

-Tu n’as pas à parler comme tu fais à notre amie.

-Ah ! Ouais ? Et ça fait quoi ?

-ça fait que tu risque de gouter à mes crocs.

-Oui ! Et les miens aussi. Dit à son tour Lunari en les rejoignant.

 

Ivan regarda Lunari et vis la bande arriver. Il fut soudain mal à l’aise mais osa quand même dire :

-Ce n’est pas des gamins comme vous qui vont me donner des leçons.

-Des gamins comme tu dis qui peuvent te faire fermer le clapé dit alors Killian.

 

Ivan regarda chaque membres de notre bande et soudain me regarda.

-Je n’y peux rien si tu n’es pas de mon genre.

-Peut-être mais tu n’avais pas à dire que j’étais moche.

-Oui ! Et bien, tu es moche que veux-tu que je dise.

-Rien ! Lui envoya Eddie en serrant les points. Tu gardes ton avis pour toi !

 

Ivan écouta Eddie et éclata de rire après quoi, il dit :

-Garder pour moi que cette fille est moche ? Elle est pas mal celle la ! Ah ! Ah ! Je la ressortirais à l’occasion.

-Mais t’es con ! Ou quoi ? Demanda alors Louane.

-Ne me traitre pas de con petite pute.

-Et toi n’insultes pas les autres ! Grogna Killian.

 

Ivan regarda Killian et cessa de rire.

-Sal gamin comment oses-tu me faire face ?

-J’oses si je veux ! Toi, tu ne te gène pas pour dire des phrases méchante à notre égards.

 

Ivan serra les points et lui fit face.

-Sal gosse ! Il faudrait t’apprendre la politesse.

-Toi d’abord ! Lança alors Danny.

 

Ivan regarda Danny dont les yeux rouges brillaient intensément. Un frisson le parcouru et il se tourna face à moi.

-Et toi d’abord ! Comment ça se fait que tu traines avec des mineurs. On devrait t’interdire de les fréquenter. Car ce n’est pas normal…

 

Je le dévisageais froidement et je virais mes yeux au jaune. Ivan eut un moment de recule et je pris alors la parole.

-Je traine avec qui je veux ! Si je veux trainer avec des mineurs c’est mon choix ! Ce n’est pas à vous de dire si je peux où non les fréquenter c’est à leurs parents.

 

Ivan eut une inspiration avant de dire :

-C’est vrai ! Mais ce n’est quand même pas normal qu’une fille majeur de 20 ans.

-18 ! Lançais-je aussitôt.

-Ok ! Et ben qu’une fille de 18 ans traine avec des gosses de 10 ans.

-14 ans ! Lança toute la bande en même temps.

 

Ivan regarda la bande et poursuivit :

-Oui ! Et bien que vous ayez 10 ou 14 ans ce n’est pas normal que vous trainez avec une majeure de 18 ans.

-C’est notre amie ! Lança aussitôt Danny.

-Je veux bien vous croire mais ce n’est quand même pas normal.

-Mes parents n’ont rien dit pour ma pars s’empressa de dire Maxime.

 

Ivan regarda Maxime et dit :

-Peut-être que tes parents n’ont rien dis mais, je doute que cela soit le cas de tout le monde ici.

 

Un silence s’installa sur le groupe et Lunari finit par dire :

-De toute façon, vous n’êtes pas notre père ! Alors on n’a pas d’avis à recevoir de votre pars.

 

Ivan ouvrit la bouche pour dire quelque chose lorsque sa mère l’appela :

-Ivan ! Tu rentres !

-Oui ! Maman ! J’arrive !

 

Je regardais la mère du jeune homme et j’eus un vif sourire sur le visage. J’attendis qu’il retourne la tête vers nous et je dis :

-Tu es mal placé pour parler d’avis des parents. Tu sembles le premier à écouter ta mère.

 

Ivan nous jeta un vif coup d’œil et rejoignis sa mère. On le regarda s’éloigner et Danny se tourna alors face à Louane.

-Quel pauvre type ! Pfff ! Il craint à mort !

 

Celle-ci approuva son avis et après un silence, nous décidâmes de continuer notre marche mais cette fois groupée.

-Liv ? Quand on aura tué Pierrot, on partira ? Demanda alors Eddie.

-Oui ! On deviendra définitivement des loups et nous partirons vivre notre vie dans la nature.

-J’ai hâte ! Dit alors Lunari. On pourra enfin se reproduire sans se soucier de notre âge.

-Tu as raison approuva Maxime. Nous n’aurons plus ce souci là.

 

Eddie se colla à moi ce qui me fit sourire et on s’échangea un baisé. Eddie m’embrassa un moment et finit par dire :

-Je pourrais avoir des bébés avec toi sans qu’on nous les enlève.

-Tu as raison mais t’inquiète pas comme prévu, notre bébé qu’on va avoir, on va le garder. Je te le jure !

-Vraiment ?

-Vraiment !

 

Eddie me sourit et m’embrassa. Je le serrai contre moi et nous reprîmes notre marche. On continua notre balade lorsque le loup-garou apparus. Nous, nous paralysâmes à sa vue et Killian alors demanda :

-On ne t’avait pas tué toi ?

 

Le loup-garou poussa un grognement et bondit droit vers notre bande. Celle-ci se changea alors en loups et repoussa leur ennemi avec leur pouvoir. Le loup-garou poussa un grognement et bondit sur Danny qui lui envoya des boules de feus en pleine figure. Il poussa un grognement et envoya un coup de patte à Killian qui partie rouler dans la poussière.

-Killian ! Hurla Louane les yeux devenus rouges.

 

Elle bondit sur le loup-garou et le mordit à la patte avec férocité. Le loup-garou projeta Louane sur Killian et poussa un terrible grognement. La bande repris son apparence humaine et s’écarta du loup en faisant un bon en arrière.

-A tes souhaits se moqua Maxime.

-Il faut le tuer tous ensemble et…Commença Danny lorsque madame Norck arriva.

-Non ! Hurla celle-ci.

 

Toute la bande se tourna face à elle et Abigaël alors dit :

-Pierrot l’a maudit. S’il meurt à nouveau, vous aller perdre votre pouvoir de loups.

-Alors que faire ? Demanda alors Louane en évitant un coup de patte.

-Le geler !

-Le geler ? Répéta alors Maxime.

-Oui ! Vous allez l’enfermer dans cette cage que je transporte sur le camion que j’ai emprunté. Et ensuite, je l’emmènerais au pole sud.

 

Toute la bande s’échangea un coup d’œil et finit par approuver son avis. Elle redevint des loups et nous fonçâmes sur le loup-garou. Louane bondit en avant et projeta des boules de feus dans la tête du loup-garou qui poussa un grognement. Marie et Maxime se jetèrent un coup d’œil puis projetèrent des vagues d’eau sur le loup. Celui-ci poussa un nouveau grognement et se tourna face à eux. Il bondit sur eux qui bondirent de côté pour l’éviter. Il grogna à nouveau et tourna la tête vers Eddie. Je compris ce qu’il souhaitait faire alors, je bondis devant Eddie pour le protéger. Je reçu le loup-garou en plein figure ce qui me fit tomber au sol. Je me redressais en grognant et je fis face au loup-garou. Celui-ci me dévisagea froidement et poussa un terrible grognement ce qui fit avancer Danny et Lunari d’un pas décidé. Il les regarda l’un après l’autre et fit un pas en avant. Danny et Lunari envoyèrent des boules de feu sur le loup-garou qui poussa un hurlement. Nos amis continuèrent à lui envoyer des boules de feu suivit par Louane. Marie et Maxime lui envoyèrent quand à eux des vagues d’eaux. Killian envoya également des boules de feu et Eddie m’imita en lui envoyant des attaques de racines. Le loup-garou fut repoussés vers l’arrière ce qui lui décrocha un grognement. Il tenta de faire un pas en avant mais les attaques qu’on lui envoya le repoussèrent vers le camion qu’avait emprunté Abigaël. Il secoua la tête et poussa un grognement après quoi, il tenta de résister aux attaques en faisant un pas vers l’avant. Mais nous continuâmes nos attaquent. Il secoua à nouveau la tête et tenta de faire un nouveau pas vers l’avant mais les attaques le repoussèrent vers la cage. Nous continuâmes donc nos attaquent afin de le faire reculer dans la cage. On du s’y prendre à plusieurs reprise pour le repousser dans la cage. Une fois fait, Abigaël ferma la porte et tira avec un fusil une fléchette pour l’endormir. Elle se tourna ensuite face à nous redevenus humain.

-Voilà ! C’est fait ! Il dort et j’ai plus cas le conduire au pole sud. Je vous remercie pour ce que vous faite. Je sais que vous avez encore du travail contre Pierrot qui ne va pas être facile à battre vu qu’il s’agit d’un démon. Mais je sais que vous y arriverez. Je vous souhaite bon courage et bonne vie en loup.

 

Nous lui sourîmes et madame Norck monta dans le camion. Elle nous fit signe d’au revoir et démarra. Nous la regardâmes s’éloigner et j’eus une pincé au cœur. Cela me fit repenser à la perte de ma famille et une larme coula le long de ma joue.

-ça va aller me demanda Eddie en prenant ma main.

-Oui ! Ça va aller grâce à toi mais également à tout le reste de la bande.

 

Eddie sourit et je l’embrassais avec chaleur. Il me rendit le baiser mais cela ne plus guère à quelqu’un. Le labrador avait suivit la scène depuis le début et poussa un grognement. Il sortit de derrière le buisson où, il c’était caché et fit un pas dans notre direction en grognant. Danny le dévisagea et dit :

-Tu crois pouvoir tous nous battre ?

 

Le labrador lui répondit d’un grognement et Maxime alors lança :

-A tes souhaits !

 

Il regarda Maxime et ensuite tourna sa tête vers moi. Eddie peu content se plaça devant moi pour faire comprendre qu’il me protégerait. Le labrador nous regarda un instant et jugea préférable de faire demi-tour. Il nous tourna le dos et Killian alors dit :

-On devrait le suivre.

-Oui ! Killian à raison approuva Louane.

 

Nous, nous échangeâmes un coup d’œil et nous, nous mirent en route en direction de l’endroit où il avait disparus. Nous ne le vîmes nulle part alors nous reniflâmes l’air afin de capter son odeur. On la retrouva rapidement et nous, nous mirent à la suivre. On l’aperçut au loin mais celui-ci s’éloigna de nous, et pris le chemin qu’Ivan avait pris. Il ne tarda pas à arriver devant la maison d’Ivan. Il poussa un grognement et brisa la vitre en un bond. Une fois à l’intérieur, il se jeta d’abord sur Ivan qui tentait de le repousser avec une poêle à frire. Le labrador poussa un grognement et mordit d’avantage Ivan. Ivan se mit à hurler de douleur alors son chien bondit alors sur le labrador. Le labrador repoussa le chien contre le mur où il perdit connaissance et ensuite bondit à nouveau sur Ivan qui tentait de fuir. Sa mère le frappa avec la poêle à frire ce qui le poussa à changer de cible. Il laissa Ivan pour attaquer sa mère qui poussa un hurlement de douleur. Il lui arracha la jugulaire et bondit à nouveau sur Ivan. Cette fois, Ivan tenta de le faire lâcher prise mais le chien était trop fort. Il l’égorgea et se mit à grogner dans notre direction. Nous le regardâmes et Marie dit :

-Tu crois faire le poids contre nous tous ?

 

Il nous regarda l’un après l’autre et soudain tourna la tête vers un jeune homme que je connaissais de vue.

-Salut Liv !

-Salut Jérôme.

-Je voulais te dire que je ne veux pas sortir avec toi mais rester seulement ton ami.

-Heu…Oui…

-Je suis désolé si tu es blessé ce n’est pas mon attention.

-Ok…Mais…

-Quoi ? Qui y à t-il ? Tu es choqué ?

-Non ! Je…Je suis étonné par ce que tu as dis. Pourquoi, tu me dis ça ?

-Ben Aurélien m’avait dis que tu voulais sortir avec moi.

-Ah ! Non ! Désolé mais, je sors avec Eddie Kasprak.

-Ah ! Bon ! Alors tu t’en fou de moi ?

-Ben tu es sympa mais c’est tout. Je ne veux pas sortir avec toi.

-Ok ! Bon alors pas de problème.

-Non ! Aucun !

 

Jérôme sourit lorsque le labrador poussa un grognement. La bande regarda le labrador et Maxime alors, dit :

-Ni compte même pas !

 

Le labrador répondit en grognant et la bande se mit autour de Jérôme. Le chien compris qu’il ne pouvait pas attaquer Jérôme et s’éloigna. La bande regarda le chien s’éloigner et Maxime se tourna face à Jérôme.

-Laisse moi te raccompagner comme ça le chien ne pourra pas t’attaquer.

-Ok ! Accepta Jérôme.

 

Maxime raccompagna alors Jérôme pendant que nous fixions l’endroit où avez disparus le chien peu avant. Nous voulions le suivre pour l’arrêter de nuire mais nous n’avions pas d’idée pour le stopper. On attendit que Maxime sois de retour pour aller dans notre QG afin de réfléchir à comment le stopper. Nous, ne souhaitions pas le tuer mais le faire stopper par la police mais nous ne savions pas comment s’y prendre. Le soir arriva et on du pour certains se séparer. On partis nous coucher et Eddie se colla contre moi. Je souris et le pris dans mes bras. On ne tarda pas à nous endormir sans savoir que quelqu’un allait bientôt mourir. Jérôme était en train de dormir et ignorait que sa fin était proche. Il était en train de rêver qu’il marchait dans les bois. Le soleil éclairait les feuillages et des oiseaux chantaient. Jérôme était tout content et sifflotait tout en marchant dans ce majestueux paysage. Il huma l’air et pus sentir différente odeur. Celle de champignons, celle de la mouse et de certaines fleurs d’un blanc éclatant. Il continua à marchait lorsque soudain le labrador apparus devant lui. Il était assis et le fixait de ces yeux jaunes diabolique. Il poussa un grognement et Jérôme se vit approcher du chien. Il essaya de faire demi-tour mais rien à faire c’était comme si une force invisible le poussait à avancer. Il se mit à crier jusqu’à se trouver devant le chien. Celui-ci se passa lentement la langue sur les babines. Jérôme tenta de faire demi-tour et le chien se mit alors à parler.

-Tu vas mourir ! Ton heure est arrivé !

 

Jérôme se mit à secouer négativement la tête.

-Non ! Non !

 

Un sourire apparus sur les babines du chien et celui-ci alors répéta sa phrase :

-Tu vas mourir ! Ton heure est arrivé !

 

Jérôme tenta de reculer d’un pas et y parvins. Il tremblait de tous ces membres et tenta de se retourner. Il y parvint et détala aussitôt pour mettre le plus de distance entre le chien et lui. Mais il se mit à courir sur place. Le chien sourit et s’approcha de Jérôme en marchant d’un pas lent. Quand il fut à côté de lui, il répéta à nouveau sa phrase :

-Tu vas mourir ! Ton heure est arrivé !

 

Jérôme tenta à nouveau de courir et cette fois y parvint. Il se mit à courir à perdre haleine mais la voix du chien résonna tout autour de lui :

-Tu vas mourir ! Ton heure est arrivé !

 

Il continua de courir mais le chien apparus alors devant lui. Jérôme poussa un cri et se réveilla en tremblant. Il tenta de calmer les battements de son cœur et remarqua que la fenêtre était ouverte. Du vent faisait bouger les rideaux et les branches d’arbres. Il regarda sa fenêtre lorsqu’un grognement retentit. Il tourna la tête sur la gauche et c’est alors qu’il le vit. Il était la assis droit comme un piqué et le fixait de ces yeux diaboliques. Jérôme frissonna et se redressa d’un coup afin de se diriger vers la porte. Mais le chien bondit sur lui…Un cri résonna dans la nuit…

 

Tendis que le chien venait de tuer Jérôme je me réveillais en sursaut. Eddie à mes côtés ouvrit les yeux et demanda :

-ça va Liv ?

-Oui ! Enfin…Je viens de faire un cauchemar.

-Ma pauvre louve d’amour…Tu veux boire un verre d’eau fraiche ?

-Non ! Je crois que Jérôme est mort.

 

Eddie fronça les épaules et osa demander :

-Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

-Je ne sais pas…Je le sens…

 

Eddie eut une moue et demanda :

-Veux-tu que je réveille Dany et Louane ?

-Oui ! Je veux bien mon amour.

 

Peu après nous fûmes tous prêt et nous sortîmes de la maison. On se dirigea vers la maison de Jérôme et on retrouva les autres de la bande qui eux aussi avait ressentis la mort de Jérôme. On regarda vers la fenêtre de la chambre de Jérôme au moment même où le labrador sorti. Quand il nous vit, il s’arrêta et poussa un grognement retroussant ses babines pleine de sang. Danny lui répondit de même et le chien fit un pas en avant. Il fixait Marie et au moment même où il bondit Maxime lui fonça dessus en loup. Les deux canidés partirent rouler dans la poussière et des coups de crocs ne tardèrent pas à apparaître. Les deux canidés se mordirent férocement lorsque soudain un fermier réveillait par les bruits sortis de sa maison.

-C’est quoi ce bordel ! Merde !

 

Et voyant Maxime :

-Salle loup ! Attend tu vas voir !

 

Il s’empara de son fusil et tira. La balle toucha en pleine tête le labrador qui s’écroula au sol mort.

-Merde ! Saloperie de loup ! A cause de toi, j’ai tué ce pauvre chien.

 

Maxime compris le danger et bondit derrière un buisson. Le labrador reprit son apparence humaine ce qui me paralysa sur place.

-Ce n’est pas vrai ! Le labrador étais l’homme qui à essayé de me violer.

 

En disant ça, je poussais un grognement en virant mes yeux au jaune et Eddie me serra la main avec tendresse afin de me calmer. Toute la bande me regarda dans le silence et Eddie me serra plus fort la main. Je tournais la tête vers lui et l’embrassant tendrement en sachant que désormais, il ne restait que Pierrot à battre.

 

Pendant ce temps, Abigaël roulait en direction de l’aéroport où elle fit rentrer la cage avec un mot de son supérieur. Celui-ci disait qu’il transportait un gros animal sauvage qui devait être relâché au pole sud. Le marin la laissa passer avec sa grosse cage. Le marin tenta de voir à l’intérieur mais le loup désormais réveillé bondit contre les barreaux. Abigaël prit le fusil et lui renvoya une fléchette ce qui ne tarda pas à l’endormir. Elle se tourna ensuite face au marin et lui lança :

-La curiosité est un vilain défaut.

 

Le marin eut une moue et se retourna face aux autres passagers. Abigaël tourna la tête vers le marin puis se retourna face à la cage. Elle surveilla la cage tout le trajet et une fois arrivé, elle la descendit. A peine eut-elle descendit la cage que loup-garou à nouveau réveillé bondit sur la cage. Celle-ci se mit à trembler dangereusement ce qui fit reculer Abigaël. Le loup-garou bondit à nouveau contre la cage qui bougea à nouveau dangereusement. Abigaël continua à reculer et le loup-garou bondit de nouveau contre la cage. Celle-ci commença à se briser et Abigaël se mit à courir. Le loup-garou bondit de nouveau contre la cage que cette fois, il brisa. Il prit en chasse Abigaël qui soudain glissa et tomba au sol. Abigaël croyant sa dernière heure arriver se recroquevilla et le loup-garou commença à approcher. Il continua à faire des pas en avant et soudain la glace commença à se fendre sous son poids. Il continua d’avancer et la glace se brisa l’entrainant avec lui dans l’eau. Il tenta de sortir mais s’assomma avec la plaque de glace qui était brisé. Il commença à tomber au fond de l’eau et ne se réveilla pas. Il resta endormi et la seule chose que l’on pouvait entendre était les battements de son cœur qui prouvait qu’il n’était pas mort mais juste évanouit. Abigaël se releva et s’approcha du trou. Elle y jeta un coup d’œil et ensuite, elle repris la direction de l’avion. 

 

A suivre...

Chapitre 22 Michael

 

Michael : Episode 22

(L'image n'a rien avoir avec le chapitre)

 

Tendis que les gens attendait la police, je partie faire un peu de ménage et de rangement. Quand l’heure de la fin des cours arriva, je partis à la rencontre de mon mari qui maintenant vivez pratiquement tous les jours chez moi. Je m’assis sur un banc et me mis à l’attendre. Quand il me vit il couru dans mes bras et s’assit sur mes genoux. Je l’embrassais longuement et celui-ci se mit à me regarder droit dans les yeux en disant :

-Je t’aime Liv ! Je t’aime vraiment !

-Moi aussi, je t’aime. Je t’aime à la folie.

 

Il me sourit et ces beaux yeux marron croisèrent les miens et on s’embrassa de nouveau avec chaleur. Les autres de la bande arrivèrent et me tapèrent dans la main pour me saluer lorsqu’un gitan du village voisin alors dit :

-Eh ! Tu suces !

 

Je le regardais d’un rapide coup d’oeil et celui-ci insista :

-Eh ! La vieille ! Tu suces !

-Laisse la tranquille ! C’est ma femme ! Grogna Eddie.

-Ta femme ! Beeuuuuu Et elle suce ta femme ?

 

Eddie serra les points avant de répondre :

-Non ! Et si elle doit le faire c’est rien cas moi !

 

Le gitan écouta ce qu’il venait de dire et se mit à rire.

-Casse-toi ! Michael ! On à pas besoin de toi ! Lui envoya Danny.

 

Michael regarda Danny puis de nouveau son regard se porta sur moi.

-Eh ! La vieille ! Suce-moi !

-Non ! Hurla Eddie.

 

Michael regarda Eddie et dit :

-T’es moche toi ! Grave moche ! Je ne sais pas ce qu’elle te trouve.

-On est marié dit Eddie en regardant Pin’s se mettre devant le gitan tout crocs sortis.

-Ouais ! Et alors ? Tu me la prête ta femme ? Je veux qu’elle me suce.

-Non ! Cria Eddie. C’est ma femme ! On ne fait rien à ma femme !

-Ah ouais ! J’aimerais bien l’entendre de sa bouche.

-Oui ! Et bien la réponse et non ! Dis-je peux contente.

 

Michael resta silencieux quelques secondes avant de dire :

-Qu’est-ce que tu lui trouve à ce type ?

-Il est beau ! Je l’aime ! Je suis dingue de lui !

-Pfff ! Pitoyable ! Franchement, tu me déçois ! Tu verrais qu’avec moi, tu aurais devant toi un vrai male.

-Ouais ! Bien sur un mec macho qui me considérait plus bas que terre.

 

Michael serra les points et dis :

-Vas-y ! Acceptes cela te fera du bien !

-Non !

-C’est à cause de ce Eddie à la noix.

-Ne le traite pas comme ça ! N’insulte jamais mon mari !

 

Michael eut une moue et finit par dire :

-Tu me déçois ! Tu rates quelque chose.

-Oh ! Non ! Je ne rate rien !

-Si ! Si tu me sucer, tu verrais que tu aimes.

-Non ! Merci ! Berk ! Quelle horreur !

-Ne dis pas ça ! Tu ne sais même pas si tu vas aimer où non.

 

Je dévisageais Michael et Eddie alors dit :

-Fiche la paix à ma femme ! Elle ne te sucera pas !

-Qu’est-ce que t’en sais ? Toi !

-Car elle m’aimes et n’aime que moi.

-Oui ! Eddie à raison et de plus, je ne suis pas du style à sucer le premier venu comme ça.

-Pourquoi ? Que faut-il faire pour que tu suces un mec ?

-Que je l’aime et là je n’aime qu’Eddie.

 

Michael serra les points et finit par dire :

-Je te veux ! Je t’aurai !

-Je te déconseille de tenter quoi que ce soit grogna Eddie. Car je vais vraiment me fâcher.

 

Michael regarda Eddie et dit d’une façon moqueuse :

-Bouou ! J’ai peur !

-C’est ça ! Fait le malin et tu verras !

 

Eddie avait serrés les points en disant ça et ces yeux brillèrent de couleur jaune. Je n’avais jamais vu Eddie comme ça mais cela me montra alors à quel point, il était amoureux de moi. Je ressentis une chaleur dans mon cœur et je souris en le regardant tendis qu’il dévisageait Michael. Michael le regarda puis moi avant de dire :

-Je vais rentrer mais n’oublie pas que je suis toujours la si tu as envie de sucer.

-Tu peux rêver ! Je ne te sucerais pas ! J’aime Eddie ! Et rien que lui ! Je ne sucerais personne d’autre que lui ! Alors tu peux faire une croix sur moi.

-Oh ! Non ! Je sais que les filles comme toi finissent toujours par changer d’avis.

-Tu te trompes ! Je ne changerais jamais d’avis.

 

Michael haussa les épaules et s’éloigna en disant :

-C’est ce que tu dis. On verra ça !

-C’est déjà tout vu dis-je en même temps qu’Eddie.

 

Michael nous regarda l’un après l’autre et continua sa route. Nous le regardâmes froidement et Eddie me serra la main en disant :

-Jure-moi que jamais, tu me tromperas et que tu n’aimeras que moi.

-Bien sur Eddie. Je t’aimerais toujours et jamais, je ne te tromperais. Cela ne traverse même pas mes pensées d’ailleurs.

 

Eddie sourit et serra ma main avec tendresse. Je fis de même et nous décidâmes de rentrer. Pendant que je rentrais avec Dany, Louane et Eddie celui-ci me dis :

-Je t’aime comme jamais j’aurai pus imaginer. Je ne regrette pas mon choix et je ne veux pas te perdre jamais.

-Jamais ?

-Jamais !

 

Je souris et je l’embrassais avec la langue lorsque Louane dis :

-Ce Michael est nouveau car en tant que gitane, je ne l’avais jamais vu.

-Non ! C’est un gitan de la sortie du village. Dit alors Danny.

-Ah bon ? En tout cas, il à la peau bien bronzé contrairement à nous.

-Oui ! Tu as raison.

-Tu le connais ?

-Je le connais juste de vue. Dit aussitôt Danny. Mickael est connu de tous pour ces désirs sexuels.

-Ces gitans là sont tous timbré.

 

Je tournais la tête vers elle et Eddie alors dit :

-Ils n’ont pas froid aux yeux en tout cas.

-C’est clair oser dire librement des choses dégoûtante comme ça ! Il ne manque pas d’air !

 

Danny et Louane s’échangèrent un regard puis se tournèrent vers moi.

-Ils sont macho et considère la femme comme un objet. Elles n’ont pas le droit de sortir mais de faire le ménage et la bouf. Elles doivent obéir à leurs maris qui sont très connu pour leur infidélité. Ils n’hésitent pas aussi à choisir une proie pour assouvir leur désir sexuel. Dit Danny.

-Dégueulasse ! Lançais-je en tirant la langue. Ils sont aussi sans gène à ce que je vois. Car je suis marié avec Eddie et dire ce qu’il à dis tout à l’heure et irrespectueux.

-Ils s’en foutent de ce qui est respectueux ou non. Pour eux ce sont eux les rois et donc ceux qui font la loi.

 

Je poussais un soupir et je finis par dire :

-Je suis dégoûté ! Ces gens me dégoûtent. Comment pouvoir oser se comporter comme tel ? C’est hallucinant ! Je ne suis pas leur objet et ne le sera jamais ! Ils peuvent rêver !

 

Danny et Louane eurent une moue tendis qu’Eddie se mit à me fixer de ces beaux yeux marron. Je le regardais et après un sourire que je lui envoyais, je dis :

-Vous pensez qu’ils vont venir ici ?

-Possible ! Dit alors Danny. S’il tient vraiment à avoir ce qu’il à demandé, il pourra nous suivre par exemple et venir à un moment qu’il jugera convenable pour lui.

 

Eddie et moi nous regardâmes et Eddie alors dit :

-J’empêcherai qu’on touche à ma femme. Elle m’appartient ! Elle est rien cas moi !

 

J’approuvais d’un signe de tête et je dis :

-Et moi, je refuserai toujours ces demandes ! Car comme à dis Eddie, je suis à lui comme lui à moi. Donc il peut rêver le Michael avec ces désirs pervers ! Il ne m’aura pas !

 

Danny et Louane m’écoutèrent attentivement puis tournèrent la tête vers Eddie.

-Tu crois que tu feras le poids face à ce con ?

-Oui ! Car pour la femme que j’aime, je ferai n’importe quoi.

-Pareil pour moi. Répondis-je

 

Danny et Louane se jetèrent un coup d’œil lorsqu’Eddie dit :

-Vous aussi vous êtes gitan et pourtant vous êtes différents.

-On n’a pas été élevé comme eux…Enfin…Nous avons décidé de ne pas être comme eux pour dire la vérité. Dit alors Louane.

-Vous avez raison d’avoir choisis d’être différent. Vous êtes vraiment de super gitan. Dit alors Eddie.

 

Danny et Louane sourirent tendis que je regardais Eddie qui me paralysais intérieurement par sa beauté. Je n’avais jamais ressentis ça et je ne savais pas trop ce que j’avais en moi. Cette chose que je ressentais me fit réaliser que j’aimais vraiment cet homme et que je ne pourrais jamais me séparer de lui. Je sais que je me répète mais je veux vraiment qu’Eddie Kasbrak (Eddie Kaspbrak/Adam Faraizl) le sache. Je ne sais pas pourquoi mes sentiments (pour cet acteur) n’ont pas changé mais aux contraires se sont confirmés. Je ne pourrai vous répondre mais une chose de sur. Quel que soit nos différences (qu’il soit américain et moi française) rien ne pourra m’empêcher de ressentir de puissants sentiments pour lui. Je sais qu’on peut vivre heureux en couple pour le restant de ma vie et même dans l’au delà. Je continuais de regarder Eddie et mon regard se fit amoureux ce qui ne le laissa pas indifférent. Il me sourit et il me serra la main chaleureusement. Je souris et je fis de même tendis que Danny marchait à nos côtés avec Louane.

Nous finîmes par arriver à la maison et nous préparâmes à manger. Eddie tenta de rester le plus possible avec moi pendant que nous faisions le repas. Danny et Louane le virent car Louane dis :

-Vous êtes vraiment amoureux tous les deux. A la façon comme vous agissez, on dirait que jamais on ne pourrait vous séparer. C’est vraiment trop chou votre amour. Eddie tiens à toi autant que tu tiens à lui. Pour moi vous êtes inséparable et quand vous êtes chacun de votre côté comme les moments où Eddie va au campus doit être horrible pour vous.

-Oui ! C’est horrible ! Je ne peux pas vivre sans ma Liv. Il faut quelle soit vers moi constamment alors au campus c’est trop dur.

 

Louane sourit et Danny dis :

-Vous, vous êtes vraiment bien trouvé tous les deux. Il fallait juste qu’au début, tu acceptes de tenter avec Liv et ensuite plus rien ne peut vous séparer. Au contraire même si cela à été difficile au début, tu as finis par découvrir le vrai amour de Liv qui est très fort. Je suis vraiment content pour vous et je souhaite que vous restiez ensemble pour toujours.

 

Eddie sourit et se mis à caresser Pin’s qui le regardait intensément. Il le regarda un instant et finit par dire :

-C’est vrai qu’au début, j’étais dégoûté par l’amour mais…Je…Je ne sais pas pourquoi mais c’est la première fois que je suis amoureux et que je ressens ça pour une fille. Je ne veux pas la perdre…Je sais que si je la perds, je ne m’en remettrais pas. Je doute que je retombe amoureux si je la perds ou qu’on ne s’aime plus.

 

Danny sourit et regarda Eddie qui ne cessait de me regarder avec amour et Louane alors ajouta :

-Et vos différences ne te dérangent pas ?

-Non ! Je me fiche qu’elle soit plus âgé (plus jeune) ou bien qu’elle soit plus grande (française) que moi niveau taille. Je l’aime ! Je l’aime vraiment ! Je veux lui faire plein de bébés.

 

Danny et Louane se jetèrent un coup d’œil et Danny dis :

-Vous en avez déjà un en route et vous pouvez attendre un peu pour en faire d’autre.

-J’attendrais si elle me le demande mais je l’aime comme un dingue. Je veux vraiment finir vieux à ses côtés.

 

Danny et Louane sourirent puis tournèrent la tête vers moi. Je les regardais et Louane alors me dit :

-Tu veux pleins de bébé d’Eddie toi ?

-Oui ! Mais…Pas de suite…J’attendrais un peu que l’on soit plus âgé.

 

Louane sourit et dis :

-En tout cas, je serais ravie d’être la marraine.

-Oui ! Et moi le parrain dit alors Danny d’un sourire.

 

Je leur rendis leur sourire et Eddie se colla contre moi. Je tournais la tête vers lui et je l’embrassais tendrement. Il se colla d’avantage contre moi alors je l’embrassais avec plus de force. Je pus voir qu’il été content et je dis :

-Et toi avec Lunari vous, vous correspondez aussi. Vous n’êtes pas commode tous les deux et attaché l’un à l’autre.

-C’est vrai. Admis Danny mais Louane et Killian aussi.

-Oui ! C’est vrai. 

-Pareil pour Maxime et Marie.

 

On continua de parler de nos êtres aimés et l’heure du repas arriva. On se mit à manger en discutant de la journée et le gitan me revint en mémoire. Pourquoi m’avait-il abordé comme ça et allait-il vraiment revenir comme, il avait dis. J’eus une grimace et Eddie alors demanda :

-ça va ma reine ?

-Oui ! Ça va…Enfin…Je repense à ce gitan qui à osé m’aborder comme si j’étais une pute.

-C’est un petit merdeux qui cherche la merde et rien de plus. Il ne faut surtout pas le fréquenter. Dis alors Danny

-Tu le connais bien ? Demanda alors Eddie.

-Oui ! Enfin…Je connais leur réputation. Il cherche juste des femmes pour assouvir leurs désirs sexuels. Il ne faut surtout pas céder car la plus part son marié et n’hésite pas à donner un coup de canif dans le contrat s’ils peuvent combler leur envies pervers.

 

Eddie tira la langue dégoûté et je le pris contre moi dans mes bras. Louane alors dit :

-Nous aussi, nous sommes dégoûté par leur pratique et nous, ne voulons pas inculper de telles valeurs à nos futurs enfants.

 

Danny approuva d’un signe de tête et Pin’s se mit soudain à aboyer. Nous tournâmes alors la tête vers lui et nous le vîmes fixer l’extérieur. Nous suivîmes son regard et nous aperçûmes alors Michael qui regardait dans notre direction.

-C’est pas vrai ! Il à oser venir ici ! Grogna Eddie.

-Pfff ! Quel plaie ! Laissais-je échapper.

 

Pin’s n’aboyait plus mais se mit à grogner. Son poil se hérissa et il baissa les oreilles. Je le regardais faire et je sortie peu contente.

-Qu’est-ce que tu fou la ? Tu n’as rien à faire ici !

-Mais si j’ai envie que tu me suces.

-Tu y tiens à ça ! Tu me prends pour qui ? Une pute !

-Non ! Car les putes, on les paye.

 

Je serrais les points et Eddie alors dis :

-Soit plus respectueux envers ma femme ! Et casse-toi d’ici !

-Qu’est-ce que tu as le nimbus ? Je reste si je veux ! Ce n’est pas toi qui va me faire partir.

 

Eddie serra à son tour les poings et Pin’s vint se mettre entre nous deux la tête dirigé vers Michael. Michael nous regarda et soudain dis :

-Cherchez l’erreur dans ce tableau.

 

Je serrais les poings d’avantage et le dévisagea froidement. Il eut un petit rire et finis par dire :

-C’est toi l’erreur !

-Salle pute !

-Ne la traite pas comme ça ! Toi ! Cria aussitôt Eddie.

 

Michael ria à nouveau et finis par dire :

-Vous me faites pitié ! Sérieux ! Un amour idyllique c’est impossible. Les femmes sont juste bonne à servir l’homme, assouvir ces désirs sexuels et faire le ménage ainsi que la bouf.

-C’est faux ! Elles ont un cœur remplis d’amour à nous faire partager. Dit alors Eddie fou de rage.

 

Michael le regarda un instant avant de finir par dire :

-Mange tes morts toi !

-Mange mes morts ? C’est quoi ça !

-La ferme ! Ta bouche la ! Ferme là ! Tu entends ? Tu fermes ta bouche !

 

Eddie le dévisagea froidement et je dis :

-C’est toi ! Mange tes morts !

 

Michael serra les poings et dis :

-Je vais te butter toi ! Salle petit conne !

-Fiche la paix à ma femme ! Car je vais me fâcher.

-Pfff ! Pauvre mec ! Tu devrais aussi fermer ta bouche !

 

Je le regardais intensément et Michael alors revint à la charge.

-Suce-moi ! Ouais ! Toi ! Suce-moi !

 

Je poussais un soupir et je finis par dire :

-Si tu crois qu’en agissant comme tu fais, je vais te sucer, tu te fou le doigt dans l’œil.

-Ah ouais ! Et tu veux que j’agisse comment pétasse ?

-T’agis pas ! Tu me fiche la paix ! J’aime Eddie et que lui.

 

Michael poussa un soupir et finit par dire :

-Qu’est-ce que tu lui trouves sérieusement ?

-Déjà, il est beau même plus que beau.

-Et encore ?

-J’adore tout de lui. Ce qu’il fait, ce qu’il dit bref ! Je ne peux pas vraiment dire ce que j’aime chez lui car mes sentiments dépassent tous ce que l’on peu imaginer. J’aime son physique (son image) mais j’aime aussi tout ce qui se rapporte à lui (son restaurant japonais). C’est impossible à t’expliquer car tu ne comprendrai pas mais je ne changerai pas mes sentiments pour un autre homme. Je n’aime et je ne vois que lui.

 

Michael m’écouta attentivement et me dis :

-Tu n’as jamais voulus essayer un truc nouveau ?

-Un truc nouveau ?

-Oui ! Me sucer !

 

Je poussais un soupir et je dis :

-Tu y tiens à ça ! Tu devrais te renouveler.

 

Il me fusilla du regard après quoi, il dit :

-Si tu me suces, tu te régaleras et…

-Elle ne te sucera pas ! Cria Eddie fou de rage. Elle est à moi ! Elle ne sucera que moi !

-Eh ! Calme-toi ! Le nimbus !

 

Eddie serra davantage les poings et cria :

-Arrête de me traiter de nimbus ! Ce n’est pas ma faute si je suis petit !

-Ouais ! Ben tu es un mari bizarre Eddie Spaghetti.

-Ne me traite pas comme ça ! Mon nom c’est Eddie Kasbrak !

 

Michael se mit à éclater de rire et Pin’s furieux poussa un grognement comme pour lui venir en aide. Michael cessa de rire et regarda le chien avec haine. Il le regarda un instant et finit par dire :

-Que tu t’appelles Eddie Spaghetti ou Kasbrak, on s’en fou un peu. Tu es qu’un pauvre type qui devrait prendre exemple sur moi.

-Ouais ! Bien sur ! Lança Danny.

-Qu’est-ce que t’as toi ?

-Rien ! Pt’it merdeux !

-T’es mal placer pour m’insulter t’es un gitan aussi.

-Ouais ! Mais on est mieux que toi ! Lui lança alors Louane.

 

Michael les regarda l’un après l’autre et finit par dire :

-Bien sur ! Je vais vous croire !

 

Les trois gitans se fusillèrent du regard et Louane alors dit :

-Toi ! Mange tes morts !

-Qu’est-ce que tu as dis pouffiasse ?

-Traite pas ma sœur comme ça !

-Oula ! Que j’ai peur ! Bouou ! Dit alors Michael moqueur.

 

Danny serra les points ainsi que sa sœur et Michael revint à la charge.

-Bon ! Tu me suces ou pas ?

-Non ! Criais-je.

-Elle te suceras JAMAIS ! Hurla Eddie. Elle est à moi ! Elle m’appartient !

-Elle t’appartient ? Pfff ! N’importe quoi !

-Si c’est vrai ! Dis-je en même temps qu’Eddie.

 

Michael nous regarda d’un air dégoûté et Dany alors dit :

-Dégage ! On à pas besoin de toi dans notre territoire !

-Ouais ! Bien sur ! Tu crois que je vais dégager car tu me le demande ?

-Si tu ne veux pas partir de toi-même, on va te faire dégager. Dit à son tour Louane.

 

Michael les regarda l’un après l’autre et finit par dire :

-Ouais ! C’est bon ! Je dégage mais je reviendrai !

 

Il fit demi-tour et s’éloigna après un coup d’œil froid dans notre direction. Nous le regardâmes partir et Eddie se colla contre moi. Je croisai ses beaux yeux marron et je dis :

-Je t’aime Eddie Kasbrak. Je t’aime vraiment. Je t’aime comme une dingue.

-Moi aussi, je t’aime. Je t’aime comme un fou.

 

On s’échangea un regard et on s’embrassa avec force.

Tendis qu’on s’embrassait Michael marchait la tête haute dans les hautes herbes. Il marcha un instant lorsqu’un grognement retentit. Il tourna la tête où le grognement venait de se faire entendre et aperçut alors le berger malinois et le labrador qui le fixait avec haine de leurs yeux jaune diabolique. Michael mit la main dans sa poche et en sortit un couteau au moment même où les deux chiens bondirent sur lui. Il tomba à la renverse sur le dos et malgré la peur qu’il ressentait au fond de lui, il serra le couteau dans sa main. A peine l’eut-il serrait qu’il frappa le berger malinois qui poussa un couinement. Il recommença plusieurs fois mais le chien semblait résister à la douleur car il continuait de le mordre. Michael hurla de douleur sous chaque morsure mais continua d’asséner des coups de couteaux au chien. C’est alors qu’une voiture policière arriva au même moment et tira. Ils touchèrent le berger malinois qui s’effondra sur le sol mort où il reprit son apparence humaine. Le labrador comprenant le danger détala derrière une haie où il disparut. Les policiers garèrent la voiture et vinrent près de Michael. Celui-ci alors bredouilla :

-Je…Je…Je voulais…Juste…qu’elle me suce.

 

Et il mourut après ça. La police regarda le gitan couché sur le sol et l’un des policiers alors dit :

-De qui pouvait-il parler ?

-Aucune idée.

-Quoi qu’il en soit, il est mort et cela va encore nous retomber dessus de la par de sa famille.  

-Surtout que je connais ce gitan. C’est Michael G et celui-ci n’est pas un bon gitan tout comme sa famille. Ils ne sont pas faciles à approcher et pour rentrer dans leur communauté c’est très dur. Ils n’aiment pas les étranger et encore moins les flics.

-Que va ton faire alors ?

-On va leur dire quand même la vérité mais il va juste falloir que l’on soit prudent car cela risquerait de nous causer du tord.

 

Le collègue approuva d’un signe de tête et le second policier alors dit :

-Et pour le labrador qui l’a également attaquer ?

-On va se mettre à sa recherche des maintenant.

-Ok !

 

Les deux policiers se mirent donc en route sur le chemin qu’avait pris le labrador. Ils ignoraient encore où ils pouvaient déboucher mais semblait s’en ficher. Tout ce qui comptait pour eux était de retrouver le labrador et le mettre hors d’état de nuire.

A suivre...